Les Contes Qui Donnent Confiance

Des histoires qui aident vraiment votre enfant

Votre enfant se dit « je suis nul » ? Il n’ose plus essayer ? Ces histoires sont faites pour lui. Et elles sont gratuites.

Pourquoi ces contes existent

Je suis hypnothérapeute depuis 30 ans. J’aide des enfants à retrouver confiance en eux.

En cabinet, quand un enfant me dit « je suis nul », je ne lui réponds pas « mais non, tu es super ». Il ne me croirait pas.

À la place, je lui raconte une histoire.

Une histoire où le héros doute. Comme lui. Une histoire où le héros découvre qu’il a des forces cachées. Une histoire où le héros change, sans qu’on lui fasse la morale.

Et ça marche. Depuis 30 ans, je vois des enfants se transformer grâce à ces histoires.

Mais en cabinet, je ne peux aider qu’un enfant à la fois. Alors j’ai décidé d’enregistrer mes contes. Pour que tous les enfants qui en ont besoin puissent les écouter.

Comment ça marche ?

Un exemple concret

Votre fils dit qu’il est nul en maths. Vous avez beau lui répéter qu’il est intelligent, rien n’y fait. Il est convaincu qu’il n’y arrivera jamais.

Le soir, vous lui faites écouter l’histoire du petit arbre qui se compare aux grands arbres de la forêt. Le petit arbre trouve qu’il est trop petit, trop lent, que ses branches sont moches.

Mais un jour, un oiseau vient se poser sur lui. Puis un autre. Le petit arbre découvre que même petit, il peut déjà être utile. Qu’il grandit à son rythme. Que comparer ses branches d’aujourd’hui aux branches des autres n’a aucun sens.

Votre fils ne fait pas le lien consciemment. Mais son cerveau, lui, comprend. L’histoire plante une graine. Une graine qui dit : « tu grandis à ton rythme, et c’est normal ».

Quelques jours plus tard, il essaie un exercice de maths difficile. Au lieu d’abandonner, il dit : « bon, je vais essayer quand même ».

C’est ça, la magie d’un conte thérapeutique.

Pourquoi ça fonctionne

Quand on dit à un enfant « aie confiance en toi », son cerveau répond « facile à dire ».

Mais quand on lui raconte une histoire, son cerveau ne résiste pas. Il écoute. Il s’identifie au héros. Et il intègre les solutions que le héros trouve.

C’est ce qu’on appelle en hypnose « contourner les résistances ». Mais vous n’avez pas besoin de retenir ce mot. Ce qu’il faut retenir, c’est que ça marche.

Quelle est la différence avec une histoire normale ?

Histoire classique

Le héros vit une aventure. À la fin, il y a une morale. Genre « il faut toujours être gentil » ou « le courage paie toujours ».

L’enfant écoute. C’est joli. Mais ça ne change rien en profondeur.

Conte thérapeutique

Le héros vit exactement ce que vit l’enfant. Il doute. Il a peur. Il se compare. L’enfant se reconnaît totalement.

Le héros trouve des solutions. Pas des grandes leçons. Juste des petites astuces concrètes. Des façons de voir les choses autrement.

Pas de morale à la fin. Juste une transformation qui s’est opérée pendant l’histoire. Dans le héros. Et dans l’enfant qui écoute.

La clé ? Dans mes contes, le héros ne réussit pas parce qu’il devient parfait. Il réussit parce qu’il accepte d’être imparfait et d’essayer quand même. C’est ça que l’enfant retient.

Ces contes sont pour votre enfant si…

  • Il dit « je suis nul » ou « j’y arriverai jamais ».
  • Il abandonne dès qu’il rencontre une difficulté.
  • Il n’ose plus lever la main en classe de peur de se tromper.
  • Il se compare tout le temps aux autres et trouve qu’il est moins bien.
  • Il a peur d’essayer de nouvelles choses.
  • Il ne croit plus en lui.

Votre enfant n’a pas besoin d’avoir un gros problème. Ces contes sont aussi pour les enfants qui vont globalement bien, mais qui traversent ces doutes normaux de l’enfance.

Âge : 5-12 ans principalement. Certains enfants de 4 ans accrochent déjà. Certains ados de 13-14 ans aiment aussi.

Ce qui rend ces contes spéciaux ?

30 ans d’expérience, pas un livre de recettes

Je n’ai pas inventé ces histoires en lisant un manuel. Je les ai affinées pendant 30 ans en cabinet, avec de vrais enfants. J’ai vu ce qui marche. Ce qui touche. Ce qui transforme.

Des outils concrets, pas des jolies phrases

Je ne dis pas à l’enfant « crois en toi ». Je lui donne des mini-outils qu’il peut utiliser. Comment gérer ce moment où on a envie d’abandonner. Comment voir l’erreur autrement. Comment se parler à soi-même quand on doute.

Ça parle au cerveau profond, pas juste aux oreilles

Vous savez quand vous conduisez et que vous pensez à autre chose, et hop, vous êtes arrivé ? Votre cerveau profond conduisait pendant que vous pensiez. Ces contes parlent à ce cerveau-là. Celui qui intègre sans analyser. C’est pour ça que ça fonctionne même si l’enfant ne fait pas le lien consciemment.

Ma vraie voix, pas un robot

Je raconte ces histoires comme je les raconterais à votre enfant dans mon cabinet. Avec ma voix. Mes silences. Mon authenticité. Pas de voix édulcorée ou artificielle.

Comment les utiliser ?

Quand ?

Le soir avant de dormir, c’est parfait. Mais pas que.

Après une journée difficile.

Dans la voiture sur le chemin de l’école.

Quand vous sentez que votre enfant traverse un moment de doute.

Il n’y a pas de mauvais moment.

Combien de fois ?

Votre enfant peut écouter la même histoire plusieurs fois. C’est même recommandé.

Chaque écoute ancre un peu plus les ressources. Comme apprendre à faire du vélo : on ne fait pas qu’un seul tour.

Si votre enfant redemande 5 fois la même histoire, c’est bon signe. Ça veut dire que son cerveau en a besoin.

Avec ou sans vous ?

Les deux fonctionnent.

Vous pouvez rester avec lui et écouter ensemble.

Vous pouvez le laisser en autonomie avec un casque.

Faites comme vous le sentez.

Sur quel appareil ?

Téléphone, tablette, ordinateur, enceinte connectée. Peu importe.

L’important, c’est que l’enfant soit confortablement installé, au calme, et qu’il puisse se laisser porter par l’histoire.

Ce que ces contes ne peuvent pas faire

Soyons clairs : ces contes ne remplacent jamais, jamais, jamais un vrai accompagnement thérapeutique.

Imaginez :

Vous avez mal au dos. Un ami vous file un tutoriel YouTube d’étirements. Ça peut vous soulager. C’est utile. Mais si votre dos vous fait vraiment mal, vous allez voir un ostéopathe ou un kiné, pas vrai ?

C’est pareil pour ces contes.

Si votre enfant traverse des difficultés importantes. S’il souffre vraiment. S’il pleure tous les matins. S’il refuse d’aller à l’école. S’il fait des cauchemars toutes les nuits.

Un conte ne suffit pas. Il faut consulter un professionnel.

En revanche, le conte peut être un excellent complément au suivi. Beaucoup de thérapeutes recommandent d’ailleurs à leurs patients d’écouter des contes thérapeutiques entre les séances.

Votre enfant a besoin d’un accompagnement personnalisé ?

Je reçois en cabinet et en ligne. On peut échanger 10 minutes au téléphone pour voir si je peux vous aider.

Contact : eveelisabethmartin@gmail.com

Où écouter les contes

Tous les contes sont sur YouTube. Gratuits. Accessibles à tous.

Je publie un nouveau conte chaque lundi.

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Vos questions

Mon enfant va bien, ces contes sont quand même pour lui ?

Oui ! Ces contes ne sont pas réservés aux enfants en difficulté. Tous les enfants doutent parfois. Tous les enfants ont des moments où ils se comparent, où ils ont peur d’essayer. Ces histoires les aident à naviguer ces moments normaux de l’enfance.

Parfois oui, parfois non. Chaque enfant est différent. Certains vont avoir un déclic dès la première fois. D’autres auront besoin de 3, 5, 10 écoutes. C’est comme planter une graine : vous ne voyez pas la pousse tout de suite, mais les racines travaillent en dessous.

Essayez ! Certains enfants de 4 ans accrochent complètement. Certains ados de 13-14 ans aussi. La tranche 5-12 ans, c’est juste la moyenne. Votre enfant vous dira s’il accroche ou pas.

Entre 12 et 20 minutes. Le temps qu’il faut pour que l’histoire fasse son chemin.

Quand vous voulez ! Le soir, c’est bien parce que l’enfant est calme. Mais le matin, l’après-midi, dans la voiture, ça marche aussi. Il n’y a pas de règle.

Non, aucun piège. Tout est gratuit sur YouTube. Si vous vous inscrivez à la newsletter, vous aurez des bonus, mais ce n’est pas obligatoire. Je ne vous demanderai jamais de payer pour les contes de base.

Non. Si votre enfant souffre vraiment, s’il traverse des difficultés importantes, il faut consulter un professionnel. Un psychologue, un hypnothérapeute, un pédopsychiatre. Les contes peuvent aider en complément, mais ils ne remplacent pas un suivi personnalisé. Si vous avez un doute, appelez-moi, on en parle.